Brève 47 1 BalisesLe 10 février 2022, les délégués de proximité de la compagnie André HEFFNER et Bernard PARIS, se sont rendus à la caserne Belzunce à VILLENEUVE-SUR-LOT. Ils souhaitaient ainsi remettre aux gendarmes de cette unité, des lots de matériels lumineux destinés à accroître la sécurité des personnels engagés sur le terrain.

Ce fut l’occasion pour les délégués de proximité des Amis de la Gendarmerie de rencontrer le chef d’escadron nouvellement promu Stéphane TRENTIN, commandant de la compagnie de VILLENEUVE-SUR-LOT, l’adjudant-chef Éric PICARD, commandant du P.S.I.G. accompagné du brigadier-chef Medhi LOUKILI, des secrétaires l’adjudant Davy ROUGE, l’adjudant Bertrand BONORA et la maréchale de logis chef Malika IGOUZOUL. Représentant le président Philippe BRUNOT, ils remirent, dans le cadre du soutien matériel annuel 2021 apporté aux unités de gendarmerie départementale du groupement, 2 valises contenant 6 balises lumineuses de signalisation routière.

 Rechargeables sur secteur ou sur la prise 12V d’un véhicule de patrouille, ces balises émettent des signaux d’intensité et de fréquence réglables selon 9 modes, visibles à 1 km de jour et à 2 km de nuit. Munies de plots magnétiques, elles peuvent être plaquées sur une surface métallique ou bien être déposées au sol où elles résistent au passage d’un véhicule.

Baliser une zone d’accident, jalonner la circulation autour d’un obstacle, canaliser des véhicules vers un poste de contrôle, sécuriser les interventions des gendarmes sur les routes, notamment la nuit, tel était l’objectif poursuivi par le comité de Lot-et-Garonne. Ces équipements ne figurant pas au tableau de dotation des unités de gendarmerie, ils viennent compléter le matériel déjà en place pour ainsi renforcer la sécurité des gendarmes engagés.

 C’est ensuite autour d’une collation, que le commandant d’unité a salué l’excellence des échanges entre le président, les délégués de proximité, les adhérents et les militaires des unités. Il remercia le comité pour le soutien apporté en 2021 qui fournit, sans conteste, une réelle plus-value opérationnelle aux gendarmes et plus particulièrement, cette fois aux gendarmes du peloton de surveillance et d’intervention (PSIG).