A Privas, le directeur général de la gendarmerie nationale a présidé le 9 juillet 2013 une cérémonie en hommage à trois sous-officiers décédés lors d’un entrainement en montagne.

Le mardi 2 juillet dans le massif du Mont-Blanc, une cordée de trois militaires de la gendarmerie dévissait. Les personnels victimes de cet accident mortel étaient affectés dans des unités de l’Ardèche, l’adjudant chef André TURQUAT et l’adjudant Emmanuel POTENTIER au PSIG de Ruoms et le maréchal des logis chef Olivier ROUCH à la brigade de Le Béage. Le 9 juillet en fin de matinée, place du champ de mars à Privas une cérémonie d’hommages était organisée. En présence des familles des disparus, les honneurs militaires ont été rendus aux trois victimes et après avoir retracé leur carrière respective, le général d’armée Denis FAVIER leur a décerné la médaille militaire.

« Les amis de la gendarmerie » étaient bien entendu présents à cette émouvante cérémonie pour honorer ces trois sous-officiers et témoigner leur soutien aux familles.

La nouvelle caserne de gendarmerie de Le Teil en Ardèche a été inaugurée le 5 juillet 2013 par monsieur Manuel VALLS ministre de l’intérieur.

Accompagné du général d’armée FAVIER directeur général de la gendarmerie nationale, du général de division RIDAO commandant la région de gendarmerie, du colonel JOSSE commandant le groupement et des autorités civiles du département, le ministre a visité les locaux de service avant de s’adresser aux personnels présents, à leurs familles et aux invités. Dans son allocution, il s’est félicité de cette nouvelle construction qui permet de meilleures conditions de travail aux personnels et offre aux familles un cadre de vie agréable. Avant son départ, le ministre a d’ailleurs souhaité visiter un logement de fonction.

« Les amis de la gendarmerie » étaient bien sûr présents à cette cérémonie d’une grande sobriété au cours de laquelle une minute de silence a été observée à la mémoire de trois militaires de la gendarmerie, appartenant à des unités de l’Ardèche voisines de Le Teil, décédés accidentellement quelques jours plus tôt.

Le comité Drôme–Ardèche des Amis de la Gendarmerie s’est ouvert aux services d’incendie et de secours à l’occasion de sa réunion annuelle.

Celle-ci s’est tenue au SDIS de la Drôme dirigé par le colonel BOLZINGER. Elle a débuté par la visite des locaux et notamment la salle de commandement où sont reçus les appels 18 et 112 du département. Des explications ont été données par le commandant Frédéric VATRIN sur les types d’intervention, l’organisation des secours, la gestion informatisée du traitement des appels, la logistique des moyens d’intervention dans chaque commune et le suivi de la position de chaque véhicule depuis la salle. Il a été noté un délai particulièrement court entre la réception d’un appel, son traitement et le déclenchement de l’intervention. Dans la salle réservée aux catastrophes nécessitant la coordination entre les services concernés, tout est géré sur ordinateur et des vidéoprojecteurs pour suivre l’évolution de la situation et aider à la décision. Durant cette réunion, les Amis de la Gendarmerie ont accueilli le médecin général inspecteur (2s) Jean-Louis Morel, nouvel adhérent du comité de l’Ardèche.

Madame Martine MOREL est la nouvelle présidente du comité de l’Ardèche des Amis de la Gendarmerie.

Depuis de nombreuses années, les adhérents de l’Ardèche étaient regroupés au sein du comité voisin de la Drôme. Cette nouvelle organisation doit relancer l’association dans ce département, sans que l’appui naturel « de part et d’autre du Rhône » ne soit remis en cause. Native du sud de l'Ardèche, Martine MOREL est installée désormais du côté d'Annonay d'où est originaire son mari Jean-Louis, médecin général inspecteur (2S) qui fût entre autre conseiller santé auprès du DGGN puis inspecteur du service de santé pour la Gendarmerie. Mère de 3 enfants, elle peut s'occuper aujourd'hui de ses petits enfants. Responsable d'un club de bridge, Martine a toujours été engagée activement au sein d'associations variées. "Ma rencontre avec la gendarmerie, contemporaine avec celle de mon futur mari lui-même fils de gendarme, a véritablement eu lieu lorsque Jean-Louis s'est occupé du suivi médical des personnels de la gendarmerie. J'y compte de nombreux et fidèles amis et je suis heureuse de pouvoir participer au développement de notre association"