Une rencontre avait lieu le 08 décembre au siège du groupement de l’Isère. A cette occasion, le comité des Amis de la Gendarmerie mettait à disposition des gendarmes, du matériel de secours « High Tech » destiné à sauver des vies. Il s’agissait en l’occurrence d’un défibrillateur haut de gamme, acquis hors programme de dotation des unités, qui pourra être utilisé par chacun au sein de la résidence, en cas de besoin.

À la demande du commandant de groupement de l’Isère, le comité de Grenoble a financé l’achat d’un défibrillateur installé dans l’enceinte du quartier « gendarme OFFNER » et mis à la disposition de tous. Les Amis de Grenoble ont fourni un appareil haut de gamme et complet qui permet de diffuser l’alerte dès lors qu’il est utilisé, en remplissant ainsi la fonction essentielle : « Prévenir – Alerter – Secourir ». Une alerte sonore permet de sensibiliser le voisinage de proximité afin d’obtenir de l’aide et participer à l’opération de secours. De plus, équipé d’un jeu d’électrodes de rechange et d’électrodes spécifiques, cet appareil polyvalent peut également être utilisé sur des enfants. Le comité a également pris à sa charge le contrat de maintenance une année durant.

Il est utile de préciser que toute personne est autorisée à utiliser un défibrillateur automatisé externe (DAE). Le terme « Externe » ne signifie en rien l’endroit physique où il doit être installé, à l’intérieur ou à l’extérieur d’un bâtiment, mais est utilisé en opposition au défibrillateur employé en chirurgie cardiaque, soit « Implantable ». Un DAE peut donc être un DEA ou un DSA. Ils sont utilisables par tous, sans nécessité d’avoir suivi en amont une formation au secourisme. Sans la présence d’un médecin, leur utilisation est légale. Quels que soient les modèles existants, ils ont tous le même objectif, celui de sauver des vies.

Ce matériel fut remis le 08 décembre 2021 au colonel Yannick BELAUD, commandant en second du groupement de gendarmerie de l’Isère, par le président et la trésorière du comité de Grenoble, Lino IANNETTA et Annette CHAROSSE, à l’occasion d’une visite dans